L'emploi intérimaire au 4e trimestre 2008
- 28 avril 2009
- Dares Indicateurs N° 18.4
À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
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À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
Au 4ème trimestre 2008, l’activité en France a fortement reculé (-1,1 %), après une légère augmentation au 3e trimestre (+0,1 %). Cette forte contraction de l’activité s’est accompagnée d’une dégradation accrue de la situation du marché du travail.
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
Entre juillet 2002 et décembre 2007, 441 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre d’un « Contrat jeunes en entreprises » (ou dispositif de « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprises » ), dont 92 000 pour l’année 2007.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides) .
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
Parmi les salariés embauchés en contrat nouvelles embauches (CNE) au mois d’octobre 2005, sept sur dix travaillaient encore dans la même entreprise au bout de six mois et cinq sur dix au bout de douze mois.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides) .
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.