Les évolutions des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en 2016
- 15 décembre 2017
- Dares Résultats N°080
L’année 2016 a été marquée par la stabilisation du nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C).
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L’année 2016 a été marquée par la stabilisation du nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C).
En 2015, 54,9 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,6 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 844 800 en France métropolitaine fin novembre 2011. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin octobre 2011 (+1,1 %, soit +29 900). Sur un an, il croît de 5,2 %.
En 2010, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B et C) a augmenté de 197 000, après +594 000 en 2009, rejoignant en fin d’année le record historique atteint en 1999.
À l’horizon de 8 mois, l’accompagnement par les OPP pris dans leur ensemble a augmenté significativement la proportion de jeunes occupant un CDD d’au moins 6 mois.
En 2009, 57,2 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 756 500 en France métropolitaine fin juillet 2011. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin juin 2011 (+1,3 %, soit +36 100). Sur un an, il croît de 2,8 %.
En 1993, les demandes de licenciements de représentants du personnel augmentent encore, mais le taux d'autorisation de ces licenciements par les inspecteurs du travail diminue nettement.
En 1994, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,7 % de la rémunération totale (6,6 % en 1993). La part des primes non mensuelles est stable : 7,8 %.
En 1994, près de 260 000 personnes ont bénéficié d'un des dispositifs publics d'accompagnement des restructurations.