Les contrats initiative emploi en 1999
- 29 août 2000
- Dares Analyses N° 33.1
Durant l’année 1999, près de 158 000 salariés ont été embauchés dans le cadre d’un contrat initiative emploi (CIE).
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Durant l’année 1999, près de 158 000 salariés ont été embauchés dans le cadre d’un contrat initiative emploi (CIE).
En 1998, les organismes prestataires de bilans de compétences ont réalisé 78 000 bilans, pour un chiffre d’affaires de 290 millions de francs.
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
En 1998, fonction publique mise à part, le nombre de jours de grève diminue par rapport à l’année précédente, pour atteindre 353 000, le plus bas niveau observé depuis plus de vingt ans.
En 1997, fonction publique mise à part, le nombre de journées individuelles non travaillées pour fait de grève approche, comme en 1996, le demi-million.
En 1998, quatre enquêtes simultanées auprès des établissements utilisateurs de dispositifs de la politique de l’emploi permettent de mieux cerner les logiques d’utilisation de l’apprentissage, du contrat de qualification, du contrat initiative emploi et de l’exonération pour l’embauche d’un premier salarié.
En fin d’année 1997, les 778 entreprises d’insertion existantes employaient plus de 10 150 personnes en contrat d’insertion, soit une augmentation de 4 % par rapport à 1996.
Le nombre de jours de grève (hors fonction publique) a atteint, en 1996, moins d’un demi-million.
Les salariés des associations intermédiaires sont le plus souvent des femmes, relativement jeunes et d'un niveau de formation peu élevé. Avant leur entrée dans une association, la plupart connaissent une situation d'emploi précaire ou un passage par le chômage.
Les dépenses pour la formation des salariés se maintiennent tant dans le secteur public que dans le secteur privé, ainsi que les dépenses pour les jeunes en première insertion sur le marché du travail. Celles en faveur des demandeurs d'emploi reculent.