Les médiations institutionnelles de la confiance en entreprise. Une comparaison franco-allemande
- 29 mars 2021
- Revue Travail et Emploi
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Le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour 1 000 salariés augmente de 51 % et s’établit à 107 en 2018.
16,7 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole déclarent qu’une négociation collective a été engagée en 2018.
La reprise est un peu plus forte dans la construction (+7,1 %) que dans le tertiaire (+4,7 %) et l’industrie (+4,6 %).
À la fin du 4e trimestre 2014, 542 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+4,7 %).
Au 4e trimestre 2014, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi en catégories A, B et C, repart à la baisse (-3 %), effaçant la hausse du trimestre précédent.
À la fin du 4e trimestre 2012, 507 700 salariés sont intérimaires, soit un recul de 9 600 postes par rapport au trimestre précédent (-1,9 %).
Sur un an, les effectifs de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A, B et C continuent à s’accroître (+9 %).
Le taux de participation aux élections des comités d'entreprise a augmenté de 0,9 point entre 1993 et 1995, pour atteindre 66 %. L'inversion de tendance amorcée en 1992 se confirme donc, après un recul constant des taux de participation depuis les années 1970 et jusqu'en 1991.
En 1995, les intérimaires ont fourni un volume de travail correspondant à 292 000 emplois à temps plein, accompli au cours des 6 300 000 missions de l'année. En moyenne, l'intérim a ainsi occupé environ 274 000 personnes à la fin de chaque trimestre.