Conjoncture de l’emploi et du chômage au 4e trimestre 2016
- 4 mai 2017
- Dares Indicateurs N°030
Au 4e trimestre 2016, l’activité économique en France est plus dynamique avec une croissance du PIB de +0,5 %, après +0,2 % au 3e trimestre.
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Au 4e trimestre 2016, l’activité économique en France est plus dynamique avec une croissance du PIB de +0,5 %, après +0,2 % au 3e trimestre.
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
En 2015, 53,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en France : 43,2 % occupent un emploi et 10,1 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,9 %. 14,7 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation (part de « NEET »).
Au 3e trimestre 2016, l’activité économique en France se redresse modérément, de 0,2 % après -0,1 % au 2e trimestre.
Fin décembre 2016, en France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s’établit à 3 473 100.
Du point de vue du marché du travail, le troisième trimestre 1996 se situe tout à fait dans le prolongement des trois précédents : l'emploi salarié reste depuis un an pratiquement stable dans une contexte de faible croissance économique et le chômage continue à augmenter.
L'évolution de la législation a, depuis 1992, favorisé le développement du temps partiel qui s'est, dans certains cas, inscrit dans le cadre d'accords de branche ou d'entreprise.
Le deuxième trimestre 1996 est marqué par un recul de l'activité économique. Dans ce contexte particulièrement défavorable, le niveau global de l'emploi salarié privé demeure stable.
La diversité des marchés locaux du travail dessine une géographie qui permet de mieux identifier les risques des territoires (ici les zones d'emploi) face au chômage.
La part des salariés à temps partiel se développe depuis le début des années quatre vingt-dix dans les établissements de 10 salariés et plus, selon l'enquête trimestrielle ACEMO. Cette évolution s'est accentuée à partir de la seconde moitié de l'année 1993.