Les organismes de services à la personne en 2021
- 30 avril 2024
- Dares Résultats N° 28
En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
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En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
En 2020, un organisme de services à la personne sur trois déclare avoir cessé totalement son activité au cours du premier confinement.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
En France, depuis deux siècles environ, les gouvernements successifs jouent un rôle crucial dans la mise en place d’infrastructures permettant de mettre en relation des demandeurs d’emploi avec des postes. Retraçant cette histoire, l’article rend également compte des catégories et des cadres idéologiques mobilisés par les pouvoirs publics pour mettre en œuvre un tel appariement.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
Un million de salariés travaillent en France dans le secteur des services à la personne en moyenne chaque semaine. Ils représentent 4 % de l’ensemble des salariés et jusqu’à 6 % dans certains départements du Sud-Ouest.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
A travers plusieurs expérimentations, l’idée d’un « circuit-court » d’accès à l’emploi est passée au crible d’une enquête empirique multi-située, menée par FORS-Recherche sociale, pour analyser la manière dont sont conçues et mises en œuvre des formations centrées sur la pratique.
Sur l’ensemble des sortants de Pacea n’incluant pas de Garantie jeunes, 54% ont une durée de parcours inférieure à un an.