Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2005
- 28 octobre 2005
- Dares Indicateurs N°43.2
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
26 résultats
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Trois quarts des travailleurs de nuit, de minuit à cinq heures du matin, sont des hommes. Pourtant, depuis le début des années quatre-vingt dix, le travail de nuit des femmes a progressé plus rapidement que celui des hommes.
À la fin du premier trimestre 2005, on dénombre 590 000 intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+ 0,4 %).
Au 1er trimestre de 2005, l’activité économique ralentit à +0,2 % (+1,7 % en glissement annuel).
Depuis le 1er janvier 2000, la durée légale hebdomadaire du travail est passée à 35 heures pour les entreprises de plus de 20 salariés.
En 2004, le volume de l’intérim atteint 569 300 équivalents-emplois temps plein, une augmentation de 2,6 % par rapport à 2003, soit +14 000 équivalents-emploi temps plein.
Cette recherche a pour objectif l’évaluation des transformations induites par la RTT sur les communautés de travail, sur les systèmes productifs et leur niveau de performance.
Avec 585 000 équivalents-emplois à temps plein au quatrième trimestre 2004, l’intérim crée 15 000 postes (+2,5 %), poursuivant ainsi la hausse entamée depuis le deuxième trimestre 2004.
La baisse de l’emploi industriel depuis 2000 n’est pas le reflet d’un phénomène de désindustrialisation « aggravé ».
Entre 1992 et 2002, le travail intérimaire se développe dans l’industrie, ce qui réduit la chute de l’emploi dans ce secteur.