Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
- Autres publications
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
275 résultats
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 3e trimestre 2023 (-2,1 %, soit -16 300 intérimaires), après une baisse moins marquée au 2e trimestre (-0,9 %, soit -6 900 intérimaires) et une baisse de même ampleur au 1er trimestre (-2,6 %, soit -21 400). Sur un an, il est en baisse de 5,0 %.
En 2022, 77 % des employeurs déclarent qu’ils auraient embauché la même personne sans l’aide.
En six ans, le taux de recours du secteur hospitalier aux intérimaires des entreprises de travail temporaire s’accroît régulièrement, hors période d’urgence sanitaire : il passe de 0,2 % fin mars 2017 à 0,4 % fin mars 2023.
L’emploi intérimaire diminue légèrement au 2e trimestre 2023 (-0,5 %, soit -4 300 intérimaires), après une baisse plus marquée au trimestre précédent (-2,5 %, soit -20 400 intérimaires au 1er trimestre 2023). Sur un an, il est également en recul, de 1,5 %.
La question des effets d’aubaine des contrats aidés est récurrente : même en absence d’aide à l’embauche, une partie des contrats aidés auraient été signés par les structures qui y souscrivent.
Destinés en partie à favoriser la création d’emplois, les contrats aidés se heurtent potentiellement à des effets d’aubaine qui limitent leurs effets sur l’emploi.
En 2022, les entrées en emploi franc ralentissent légèrement pour la première fois depuis la mise en place du dispositif, avec 26 400 demandes acceptées pour des salariés résidant en quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).