Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi au 2e trimestre 2021
- 27 juillet 2021
- Dares Indicateurs N°41
5 688 700 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi (cat. A, B, C) en moyenne au deuxième trimestre 2021, en France métropolitaine.
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5 688 700 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi (cat. A, B, C) en moyenne au deuxième trimestre 2021, en France métropolitaine.
En 2020, le nombre de contrats d’apprentissage atteindrait 525 600, en augmentation de plus de 40 % par rapport à l’année précédente.
71 % des emplois d’avenir ont eu lieu dans le secteur non marchand, principalement dans des structures de petite taille.
Quatre ans après leur entrée en dispositif la probabilité d’être en emploi des jeunes sans diplôme passés par un emploi d’avenir est en moyenne de 9 points de pourcentage supérieure à ce qu’elle aurait été sans le passage par ce dispositif.
En moyenne au deuxième trimestre 2020, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 815 000.
En juin 2020, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi n’ayant exercé aucune activité (catégorie A) baisse de nouveau fortement sur le mois (-204 700) mais demeure à un niveau élevé (4 220 900) en France (hors Mayotte).
La Dares a apporté son expertise à la publication Emploi, chômage, revenus du travail (Insee Références, édition 2020), un ensemble d’analyses et d’indicateurs portant sur le marché du travail.
En juin, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 3 185 800 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 1,4 % par rapport à mai.
Au cours de ces trois premières années de fonctionnement, le dispositif CFI_Jeunes a bénéficié à un public âgé principalement de 18 ans et plus, et majoritairement féminin. Les jeunes entrent dans le CFI de plus en plus tôt au sortir du système scolaire.
La montée récente du chômage des cadres est liée à l'aggravation de la situation économiques, mais également à des changements dans les modes de gestion de la main-d'œuvre par les entreprises. En termes de taux de chômage, les cadres restent encore relativement épargnés.