Les évolutions des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en 2016
- 15 décembre 2017
- Dares Résultats N°080
L’année 2016 a été marquée par la stabilisation du nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C).
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L’année 2016 a été marquée par la stabilisation du nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C).
L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
Fin octobre 2017, en France métropolitaine, parmi les personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (cat. A, B, C), 3 483 600 sont sans emploi (catégorie A) et 2 132 400 exercent une activité réduite (catégories B, C), soit au total 5 616 000 personnes.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
Fin septembre 2017, en France métropolitaine, parmi les personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (cat. A, B, C), 3 475 600 sont sans emploi (catégorie A) et 2 140 300 exercent une activité réduite (catégories B, C), soit au total 5 615 900 personnes.
Au 2e trimestre 2017, l’emploi intérimaire est en hausse (+3,5 % par rapport à la fin du trimestre précédent) après avoir légèrement diminué au 1er trimestre 2017 (-0,5 %).
En 2015, 168 710 personnes se sont inscrites à Pôle emploi à la suite d’un licenciement économique : c’est 4 % de moins qu’en 2014.
Les demandeurs d’emploi qui exercent une activité rémunérée parallèlement à leur recherche d’emploi sont de plus en plus nombreux : ils étaient en moyenne 1,7 million chaque mois en 2014.
Fin août 2017, en France métropolitaine, parmi les personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (cat. A, B, C), 3 540 400 sont sans emploi (catégorie A) et 2 105 600 exercent une activité réduite (catégories B, C), soit au total 5 646 000 personnes.
Les changements organisationnels ont concerné quatre salariés sur dix en 2013. Ils peuvent être un facteur d’insécurité pour les salariés, du public comme du privé, et contribuer à dégrader leur santé mentale.