Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,4 % au troisième trimestre 2011 et de 2,3 % sur un an.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture, les effectifs salariés diminuent de 0,1 % sur le troisième trimestre 2008 et augmentent de 0,4 % sur un an.
En 2005, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, 84 % des salariés ont perçu des primes et compléments de salaire.
La part d'ouvriers et d'employés augmentés continue de décroître : seulement 6,2 % des ouvriers et 4,6 % des employés (données CVS) ont bénéficié d'une augmentation en octobre 1993.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au début du troisième trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,93 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,02 heures pour les ouvriers.