Impact des nouvelles règles de représentativité sur les pratiques et les stratégies syndicales
- Le 29 septembre 2011
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Au 1er janvier 2011, la revalorisation du Smic horaire a concerné 10,6 % des salariés, hors apprentis et intérimaires, des entreprises du secteur concurrentiel, contre 9,8 % au 1er janvier 2010 et 10,6 % au 1er juillet 2009.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet au 2ème trimestre 2011.
L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
La durée hebdomadaire du travail est stable par rapport au début du deuxième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,97 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,88 heures pour les non-ouvriers et à 39,09 heures pour les ouvriers.
La légère augmentation observée en février se confirme en mars. Les proportions d'ouvriers et d'employés augmentés continuent de progresser et sont nettement supérieures à celles observées les deux dernières années à la même date.
Dans les entreprises dont l'effectif est compris entre 50 et 200 salariés, la faculté a été ouverte de mettre en place une " délégation unique du personnel ". Plus de la moitié des élections ont eu lieu dans des " établissements électoraux " de 50 à 100 salariés.
Ralentie dans la seconde moitié des années quatre-vingt, la négociation salariale de branche a été relancée en 1991 par une initiative concernant la revalorisation des bas salaires conventionnels.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.