L'apprentissage en 2022
- 30 janvier 2024
- Dares Résultats N° 10
829 600 contrats d’apprentissage débutent en 2022, soit 13 % de plus qu’en 2021. Bien qu’elle soit marquée, cette hausse est moins forte que les progressions des années 2020 et 2021.
189 résultats
829 600 contrats d’apprentissage débutent en 2022, soit 13 % de plus qu’en 2021. Bien qu’elle soit marquée, cette hausse est moins forte que les progressions des années 2020 et 2021.
Parmi les apprentis inscrits en dernière année d’une formation de niveau CAP à BTS en 2021-2022, 38 % sont encore en études l’année scolaire suivante, pour l’essentiel à nouveau dans le cadre d’une formation en apprentissage.
En 2021, 44 % des apprentis sortis d'un cycle d'études de niveau CAP à BTS, et couverts par une convention collective de branche pendant leur apprentissage exercent un emploi salarié privé dans la même branche ou une branche proche six mois après la fin de leurs études.
Quel bilan du dispositif « Prépa apprentissage » ? Rapport transversal des monographies de projets dans les régions Hauts-de-France, Grand Est, Bourgogne-Franche-Comté et Guadeloupe, Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Occitanie, Corse et Guyane ?
Quel bilan du dispositif « Prépa apprentissage » ? Rapport transversal des monographies de projets dans les régions Ile-de-France, Centre-Val de Loire, Normandie et La Réunion, Nouvelle-Aquitaine, Pays-de-la-Loire, Bretagne et Martinique ?
Les sortants précoces du système scolaire rencontrent de plus en plus de difficultés d’insertion sur le marché du travail au fil des générations.
Quelques faits stylisés à partir de l’enquête Ofer 2016.
En 2019, 39 000 établissements recourent toute l’année à des contrats courts (i. e. d’au plus 31 jours). Une partie de ces contrats pourraient être transformés en CDI ou CDD d’un an pour un volume équivalent à 235 000 emplois de 5 jours par semaine.
En 2019, 37 % des entreprises du secteur privé concluent 31,3 millions de contrats courts, c’est-à-dire des contrats d'au plus 31 jours (contrats à durée déterminée ou missions d'intérim). Ces contrats représentent 750 000 salariés en équivalent temps plein.
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.