Les mouvements de main-d'œuvre au deuxième trimestre 1988
- 13 octobre 1988
- Dares Indicateurs N°102
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du deuxième environ 6 100 000 salariés.
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Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du deuxième environ 6 100 000 salariés.
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la déclaration des mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du premier trimestre 1988 environ 6 100 000 salariés.
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la déclaration des mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du quatrième trimestre 1987 environ 6 200 000 salariés. Au cours de ce trimestre, il y a eu dans ces établissements 329 000 entrées et 415 000 sorties.
Les établissements de 50 salariés et plus employaient au début du troisième trimestre 1987 environ 6 250 000 salariés. Au cours de ce trimestre, il y a eu dans ces établissements 534 000 entrées et 613 000 sorties, soit une perte nette de 79 000 salariés en données brutes.
Un actif sur quatre utilise un ordinateur dans son travail en 1987.
Les établissements de 50 salariés et plus employaient au début de l'année 1987 environ 6 200 000 salariés. Au cours du premier semestre, il y a eu dans ces établissements 695 000 entrées et 659 000 sorties soit un gain net de 36 000 salariés en données brutes.
L’objectif de l’enquête était de décrire l’organisation du travail dans les entreprises et en particulier l’utilisation des nouvelles technologies par les salariés.
Dans les établissements de 50 salariés et plus comme pour l'ensemble des établissements, l'évolution de l'emploi salarié a été plus favorables en 1986 qu'en 1985.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.