L’orientation et les parcours en apprentissage (2019)
- 14 mai 2019
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
9 résultats
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.
Au cours de ces trois premières années de fonctionnement, le dispositif CFI_Jeunes a bénéficié à un public âgé principalement de 18 ans et plus, et majoritairement féminin. Les jeunes entrent dans le CFI de plus en plus tôt au sortir du système scolaire.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.
Les entreprises utilisatrices sont en majorité de petites unités du secteur tertiaire. Les entreprises ayant embauché par le biais de " l'exo-jeunes " sont tendanciellement plus petites, appartiennent plus souvent au secteur secondaire et en particulier au BTP (18 %).