Quels impacts de la crise sanitaire liée au Covid-19 sur le marché du travail ?
- 1 décembre 2022
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
Un décryptage des effets d’injonctions institutionnelles liées aux réformes gestionnaires, qui contribuent largement à renforcer le non-abord de la sexualité par les infirmiers.
Lors du premier confinement de la population, le temps de travail des salariés à temps complet a baissé de 9,9 heures en moyenne par semaine comparativement aux années précédentes.
Elles se sont nettement dégradées pour les métiers recourant fréquemment au télétravail et les métiers dits essentiels au travail intense.
290 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en mars 2022, un nombre en recul par rapport à février (- 80 000), et le plus bas depuis mars 2020.
410 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en février 2022, un nombre en recul par rapport à janvier (- 70 000).
29 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail au cours du mois de janvier, soit + 5 points en un mois.
En décembre 2021, 420 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle. Il s’agit d’une légère augmentation (+ 40 000) par rapport à novembre.
Travailler le soir, la nuit, le samedi ou le dimanche – en horaires dits « atypiques » en comparaison des horaires standards en journée, du lundi au vendredi – ne constitue pas des situations marginales.