Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en janvier 2021
- 24 février 2021
- Covid-19
En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
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En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
Les licenciements économiques augmentent davantage pour les plus jeunes : +76 % pour les moins de 26 ans et +106 % pour les 26-29 ans, entre septembre 2019 et 2020.
5 023 700 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé au 3e trimestre 2020 en France métropolitaine.
25 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail en décembre.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur les conditions de travail des actifs occupés et le vécu des individus sans emploi.
Au troisième trimestre 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, recule légèrement dans les établissements de 10 salariés et plus (11,1 %, soit -0,1 point), après avoir augmenté au deuxième trimestre.
En 2009, 15,2 % des salariés (21,4 % des hommes et 9 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
Dans un contexte général de forte baisse de l’emploi salarié, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, s’est accrue modérément en 2009, après s’être sensiblement infléchie en 2008.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les demandes de licenciement visant les salariés protégés ne sont pas indépendantes de l’activité économique et des autres licenciements au sein des établissements de 50 salariés et plus.