Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en janvier 2021
- 24 février 2021
- Covid-19
En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
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En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,3 % au 4e trimestre 2020.
25 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail en décembre.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur les conditions de travail des actifs occupés et le vécu des individus sans emploi.
L’indice du salaire horaire de base des ouvriers (SHBO) y connaît la même progression de +0,2 % au dernier trimestre 2010 et de +1,7 % sur un an.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
En 2009, 15,2 % des salariés (21,4 % des hommes et 9 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
Pour les établissements de 10 salariés et plus, la durée hebdomadaire effective du travail est en baisse par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 38,95 h pour l'ensemble des salariés, à 39,10 h pour les ouvriers et à 38,85 h pour les employés.
Entre 1985 et 1987, le pourcentage d'établissements de 50 salariés et plus ayant au moins un délégué syndical est passé de 57 % à 55 %. Au-delà de 500 salariés, presque tous les établissements ont des délégués syndicaux.
Toutes branches confondues, le taux de couverture-établissements s'établit à 65,6 % contre 64,1 % en 1985 et le taux de couverture-effectifs à 81,5 % contre 80,5 %.