L’emploi intérimaire se redresse au 1er trimestre 2019
- 12 juin 2019
- Dares Indicateurs N°024
À la fin du 1er trimestre 2019, on dénombre 795 100 intérimaires en France, ce qui représente 3,1 % de l’ensemble des salariés.
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À la fin du 1er trimestre 2019, on dénombre 795 100 intérimaires en France, ce qui représente 3,1 % de l’ensemble des salariés.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée, au temps partiel ou à des contrats aidés par l’État que les entreprises de 10 salariés ou plus.
Durant le cycle électoral 2005-2006, la participation aux élections aux comités d’entreprise a atteint 63,8 % des inscrits, soit une baisse d’un point par rapport à la période 2003-2004.
Dans le secteur privé et la partie du secteur public enquêtée ici, près de six millions de salariés appartenant à 33 800 établissements de 50 salariés ou plus auraient dû, en 1993, bénéficier d'un comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).
La part des salariés à temps partiel se développe depuis le début des années quatre vingt-dix dans les établissements de 10 salariés et plus, selon l'enquête trimestrielle ACEMO. Cette évolution s'est accentuée à partir de la seconde moitié de l'année 1993.
Encore essentiellement féminin, le travail à temps partiel prend de plus en plus d'importance. Il a augmenté de 20 % entre 1991 et 1994, et concerne 15 % des actifs.
En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.
En 1991, les salariés considèrent leurs conditions de travail comme moins supportables en 1991 qu'elles ne l'étaient en 1978 et 1984.
Au 31 décembre 1985 sur 34 513 établissements de 50 salariés et plus, 19 815 soit 57,4 % possédaient au moins un délégué syndical