Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2016
- 8 février 2019
- Dares Résultats N°007
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
11 résultats
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
En 2004, 330 000 chômeurs ont débuté une formation financée par l’État. Les stages d’insertion et de formation à l’emploi (SIFE) se replient, alors que les stages d’accès à l’entreprise (SAE) et les stages de l’AFPA restent stables.
En 2004, un peu moins de 164 000 contrats en alternance ont été comptabilisés.
Avec une baisse de 12 % en 2002, les entrées en contrat de qualification, d'adaptation et d'orientation reculent pour la deuxième année consécutive.
Le nombre d'entrées de demandeurs d'emploi en formations financées par l'État continue de baisser en 2002.
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
En 2001, les entrées dans les principales mesures de politiques de l'emploi se sont repliées dans un contexte de retournement du marché de l'emploi et de réforme de plusieurs dispositifs.
En mars 1994, les établissements de plus de 10 salariés employaient 57 000 apprentis et 102 000 autres contrats d'alternance.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier