La revalorisation du Smic au 1er janvier 2023
- 13 décembre 2023
- Dares Résultats N° 71
3,1 millions de salariés du secteur privé non agricole bénéficient directement de la revalorisation du 1er janvier 2023, soit 17,3 % des salariés.
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3,1 millions de salariés du secteur privé non agricole bénéficient directement de la revalorisation du 1er janvier 2023, soit 17,3 % des salariés.
Au 1er janvier 2022, le Smic brut horaire augmente de 0,9 %. Compte tenu de la hausse de 2,2 % intervenue en octobre 2021, il croît de 3,1 % sur un an.
Au 1er janvier 2021, le Smic brut horaire augmente de 1,0 %. 2,04 millions de salariés du secteur privé bénéficient directement de cette revalorisation, soit 12,0 % des salariés, après 13,0 % un an plus tôt.
À la veille de la revalorisation du 1er janvier 2020, moins de branches qu’un an auparavant présentent un premier niveau de grille inférieur au Smic en vigueur (16 % contre 22 %). En revanche, le nombre de salariés concernés par la non-conformité est inchangé à 8 %.
Au 1er janvier 2019, le Smic horaire a augmenté de 1,5 %, et 2,32 millions de salariés des entreprises du secteur privé ont bénéficié de cette revalorisation, soit 13,4 % des salariés.
En 2016, 48 % des employeurs ont mis en œuvre des mesures de prévention des risques physiques au cours des 12 derniers mois, soit 9 points de moins qu’en 2013.
Au 1er janvier 2018, près de 2 millions de salariés des entreprises du secteur privé ont bénéficié de la revalorisation du Smic horaire, soit 11,5 % des salariés.
En 2010, selon l’enquête Surveillance médicale des expositions des salariés aux risques professionnels (Sumer), 22,2 % des salariés sont exposés à des agents biologiques (bactéries, virus, parasites,champignons), soit plus de 4,7 millions de personnes.
Au 1er janvier 2017, 1,65 million de salariés des entreprises du secteur concurrentiel (hors apprentis, stagiaires et intérimaires) ont été concernés par la revalorisation du Smic horaire, soit 10,6 % des salariés (après 10,5 % au 1er janvier 2016).
Les salariés des très petits établissements (1 à 9 salariés) ne sont pas plus exposés aux risques physiques que ceux des plus grandes unités, sauf pour les vibrations et la conduite sur la voie publique.