Qui sont les signataires de contrats courts ?
- 21 mai 2021
- Dares Analyses N°25
4,8 millions de salariés du privé ont signé au moins un contrat court - un CDD ou une mission d’intérim d’au plus 31 jours - en 2019.
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4,8 millions de salariés du privé ont signé au moins un contrat court - un CDD ou une mission d’intérim d’au plus 31 jours - en 2019.
La part des CDD dans les embauches hors intérim est passée de 76 % en 2000 à 87 % en 2019 dans les établissements de 50 salariés ou plus du secteur privé. Pour quels motifs les employeurs recourent-ils aux contrats courts ?
En 2011, dans un contexte d’activité économique ralentie, le chiffre d’affaires réalisé par les organismes dispensateurs de formation professionnelle, qu’il s’agisse de leur activité principale ou d’une activité secondaire, a continué à progresser (+5,0 %).
En 2011, 15,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole ont engagé des négociations collectives.
En 2011, en France métropolitaine, les salariés à temps complet ont déclaré une durée habituelle hebdomadaire pour une semaine normale de travail de 39,5 heures, supérieure à la durée légale de 35 heures.
Le dispositif « compétences clés » s’inscrit dans un cadre européen définissant les compétences de base pour l’éducation et la formation tout au long de la vie.
En 2010, 49 % des salariés à temps complet des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé, hors agriculture, ont effectué des heures supplémentaires rémunérées.
En 2005, 14 % des entreprises de 10 salariés et plus ont engagé des négociations collectives. Ce taux est proche de 50 % dans les entreprises de 50 salariés et plus.
Plus des trois quarts des responsables d’établissement d’au moins 20 salariés déclarent avoir rédigé un document d’évaluation des risques professionnels en 2004. Cependant, les salariés et leurs représentants n’en sont pas toujours bien informés.
Porté par des mesures incitatives, l'emploi salarié à temps partiel a fortement progressé depuis 1992 et est essentiellement féminin. Cette tendance s'est confirmée en 1996. La part de l'emploi à temps partiel dépasse désormais 17 % pour l'ensemble des salariés.