Conditions de travail et précarité dans l'emploi
- 8 juillet 2009
- Dares Analyses N°28.2
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
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Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les demandes de licenciement visant les salariés protégés ne sont pas indépendantes de l’activité économique et des autres licenciements au sein des établissements de 50 salariés et plus.
La dépense pour l'emploi (DPE) recense les efforts consentis par la collectivité nationale pour J'emploi et la formation. Cet effort représente 217 milliards de francs en 1990, en hausse de 4,1% en francs constants par rapport à 1989.
Avec moins de 700 000 journées non travaillées, cette année 1990 ne se contente pas de franchir un nouveau palier dans le processus de baisse régulière de la onflictualité, elle fait date : jamais en effet le niveau des grèves n'avait atteint un tel étiage depuis 1946.
En 1986, les conflits collectifs du travail ont été à l'origine d'un peu plus d'un million de journées individuelles non travaillées. Ce chiffre est parmi les plus bas depuis de nombreuses années. Il dépasse cependant celui de 1985 en raison des grèves de décembre 1986 du secteur public.