Index de l'égalité professionnelle : quelles progressions depuis son entrée en vigueur ?
- 14 mars 2024
- Dares Analyses N° 18
Depuis 2019, la note moyenne à l’Index augmente de 3,6 points et la part des notes inférieures à 75 se réduit de moitié.
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Depuis 2019, la note moyenne à l’Index augmente de 3,6 points et la part des notes inférieures à 75 se réduit de moitié.
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
La Dares propose une nouvelle nomenclature des familles professionnelles (FAP-2021) afin d'intégrer les évolutions de la nomenclature PCS de l'Insee.
Ce quatrième rapport du comité scientifique de l’évaluation du PIC dresse un bilan à l’issue de cinq années de déploiement et complète les constats établis par les éditions précédentes.
La Dares vient d’actualiser la nomenclature des familles professionnelles (FAP). Guillaume Touré, statisticien à la Dares, nous raconte les coulisses de cette refonte, qui ouvre la perspective à de nombreuses nouvelles analyses et études sur les métiers.
Les 20 projets étudiés par Amnyos et Orseu-Itinere sont situés dans 8 régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche Comté, Grand Est, Haut de France, Ile-de-France, Martinique, Nouvelle Aquitaine et Pays de la Loire) et trois d’entre eux se placent à l’échelle nationale.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
Les femmes se forment moins que les hommes. Entre 2010 et 2015, elles sont 60 % à avoir suivi au moins une formation professionnelle, contre 65 % des hommes
La présente étude analyse 74 conditions de travail des femmes et des hommes salariés issus de 88 professions. Elle rend compte de la plus forte exposition des hommes à la pénibilité physique et des femmes aux risques psychosociaux.