L’emploi intérimaire reste stable au 2e trimestre 2016
- 29 septembre 2016
- Dares Indicateurs N°054
L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
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L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
Fin juin 2016, 84,0 % des salariés travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture et emplois publics.
Au 1er janvier 2011, la revalorisation du Smic horaire a concerné 10,6 % des salariés, hors apprentis et intérimaires, des entreprises du secteur concurrentiel, contre 9,8 % au 1er janvier 2010 et 10,6 % au 1er juillet 2009.
En 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, a augmenté très sensiblement (47,8 %, soit +2,2 points), après s’être modestement infléchi en 2008 (-1,2 point) et modérément accru en 2009 (+0,3 point).
À la fin du deuxième trimestre 2011, 604 400 salariés sont intérimaires, un nombre quasiment stable par rapport au trimestre précédent (+200 postes, soit +0,0 %).
Moins d’un travailleur sur dix en France est aujourd’hui non-salarié. Cette situation est le résultat de mutations économiques profondes ayant affecté le non-salariat, qui a vu ses effectifs divisés par deux depuis le début des années 1970.
Au troisième trimestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim augmente très légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés.
En 2005, 2 380 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des Zones de Redynamisation Urbaine (ZRU).
Au deuxième trimestre 2007, l’emploi salarié du secteur concurrentiel progresse de +59 900 postes (+0,3 %), après +123 500 (+0,7 %) au premier trimestre 2007.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).