Participation, intéressement et épargne salariale en 2019
- 19 août 2021
- Dares Résultats N°46
En 2019, 9,3 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
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En 2019, 9,3 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
Hausse de 0,3 % de l’indice du salaire mensuel de base (SMB) au 2e trimestre 2021.
Au 2e trimestre 2014, l’activité économique a stagné pour le deuxième trimestre consécutif. Dans le même temps, l’emploi salarié marchand a légèrement rebondi (+8 300 postes après -20 100 postes au 1er trimestre 2014).
En 2013, dans un contexte de faible inflation et de modération du rythme de l’activité de négociation salariale de branche, le salaire mensuel de base (entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel) a progressé de 1,6 % en glissement annuel, après +2,1 % en 2012.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,4 % au 2e trimestre 2014 et de 1,4 % sur un an.
En septembre 1994, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. Les hausses accordées sont en moyenne faibles, mais le délai moyen entre deux augmentations est plus court que celui des mois précédents notamment pour les employés.
En juillet 1994, la progression du nombre de salariés augmentés, observée depuis avril, marque un arrêt. Les augmentations moyennes accordées aux ouvriers et aux employés restent stables à 1 %. Le délai moyen entre deux augmentations augmente pour les employés.
En 1993, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,4 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,6 % de la rémunération totale.
La durée hebdomadaire effective du travail est en nette hausse par rapport au début du deuxième trimestre 1994, surtout pour les ouvriers ; elle s'établit à 38,96 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,07 heures pour les ouvriers.
En 1993, près d'un quart des entreprises n'ont procédé à aucune augmentation du salaire de base, ni individualisée ni générale. Parmi les entreprises ayant accordé des augmentations, la proportion de celles qui pratiquent l'individualisation a progressé : elle est de 38 % en 1993.