Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2008
- 24 octobre 2008
- Dares Indicateurs N°43.1
Au 2e trimestre 2008, le PIB a diminué de -0,3 %, après avoir progressé de +0,4 % au 1er trimestre 2008.
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Au 2e trimestre 2008, le PIB a diminué de -0,3 %, après avoir progressé de +0,4 % au 1er trimestre 2008.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture, les effectifs salariés diminuent de 0,1 % sur le deuxième trimestre 2008 et augmentent de 1,1 % sur un an.
En avril 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 10 996 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 176 F, un employé 8 874 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 122 F et un cadre 22 174 F.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
Dans l'ensemble des entreprises appliquant un accord, un salarié sur quatre n'a touché aucune prime d'intéressement en 1991, au lieu d'un sur dix seulement en 1990. Pour les bénéficiaires, la prime moyenne reçue a baissé d'environ 10 %.
Une entreprise sur quatre disposant d'un système légal de partage du profit, intéressement ou participation, a mis en place un plan d'épargne d'entreprise (P.E.E.).
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du deuxième trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.
En 1992, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Celles-ci ont été versées à cadence mensuelle à hauteur de 6,5 % et à périodicité différente à hauteur de 8,0 %.