Le dialogue social dans les très petites entreprises en 2018
- 24 septembre 2020
- Dares Résultats N°030
Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
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Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
Fin juin 2020, 17,1 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,9 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
La Dares a défini avec l'Insee 306 nouvelles zones d’emploi permettant d’analyser la structure du tissu productif au niveau territorial. Elles sont présentées dans un "Insee Première" publié le jeudi 10 septembre 2020.
Au deuxième trimestre 2005, la durée hebdomadaire collective moyenne du travail est stable à 35,7 heures.
Au deuxième trimestre 2005, l’emploi salarié augmente de 5 000 postes, après avoir augmenté de 12 000 au premier trimestre 2005 (+ 0,1 %).
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
En 2003, la participation aux élections aux comités d’entreprise a atteint 63,8 % des inscrits. Elle diminue de 0,6 point par rapport à 2001.
La durée hebdomadaire du travail est stable par rapport au début du deuxième trimestre 1995. Elle s'établit, en moyenne, à 38,97 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,88 heures pour les non-ouvriers et à 39,09 heures pour les ouvriers.
Sur le nouveau champ des estimations trimestrielles, les créations d'emploi salarié se réalisent à un rythme régulier depuis le début de l'année : 45 000 au premier trimestre, 47 000 au deuxième.
En 1994, 90 000 salariés ont été recrutés avec l'exonération des charges patronales au titre d'une première embauche (soi 17 % de plus qu'en 1993), 6 800 au titre de l'embauche d'un deuxième salarié (+ 82 %) et plus de 4 000 au titre de l'embauche d'un troisième salarié.