Des tensions sur le marché du travail aux besoins en compétences
- Le 17 décembre 2018
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Lors des Rendez-vous de Grenelle du 11 décembre 2018, Selma Mahfouz, directrice de la Dares, a présenté la conjoncture du marché du travail du 3e trimestre 2018. Ensuite, un focus sur les tentions sur le marché du travail a été proposé.
En 2016, 56,0 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,9 millions de salariés, ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
La rupture conventionnelle, mise en place en juin 2008, est un mode de rupture du contrat de travail négociée entre l’employeur et le salarié qui donne droit aux allocations chômage au même titre qu’un licenciement.
Dans le domaine professionnel du bâtiment et des travaux publics, les tensions sur le marché du travail sont en hausse pour le deuxième trimestre consécutif (+6,9 % par rapport au trimestre précédent).
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
Un niveau élevé de l’indicateur de tension sur le marché du travail ne signifie pas nécessairement d’importantes difficultés de recrutement.
Dans le domaine professionnel du bâtiment et des travaux publics, pour la première fois depuis le 1er trimestre 2006, les tensions sur le marché du travail sont en hausse (+3,8 %) par rapport au trimestre précédent.