Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2004
- 31 août 2005
- Dares Indicateurs N°32.2
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
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Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
Ces derniers représentent 2,5 % des effectifs salariés assujettis, soit 4 % en termes d’ « unités bénéficiaires » comptabilisées selon les critères de la loi.
En 2002, année de ralentissement conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Au troisième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre est en baisse dans les établissements d’au moins 10 salariés, sous l’effet conjugué de la baisse des entrées et des sorties.
La population étrangère ou d’origine étrangère est confrontée à un chômage et une précarité dans l’emploi en moyenne plus élevés que les Français de naissance.
Au deuxième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, continue à augmenter dans les établissements d’au moins dix salariés.
En 2003, au creux du cycle conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus sous l’effet conjugué d’une baisse des embauches et des sorties d’emploi.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Au premier trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre continue d’augmenter dans les établissements de 10 salariés ou plus, prolongeant la tendance du trimestre précédent.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés.