Les écarts de salaires femmes-hommes en 2010
- 29 décembre 2015
- Document d'études N°196
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
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Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 96,4 milliards d’euros (Md€) en 2013, soit 4,6 points de PIB.
Cette nouvelle édition vise à mettre à la disposition d’un large public les informations les plus récentes et les plus complètes pour apprécier l’activité des personnes handicapées et leur situation par rapport à l’emploi et au chômage.
En 2013, 386 700 travailleurs handicapés ont été employés dans les 99 800 établissements assujettis à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH).
En 2012, le salaire horaire net des femmes était inférieur de 16,3 % en moyenne à celui des hommes. Cela reflète à la fois des écarts de salaire au sein de chaque famille professionnelle, mais aussi d’importantes différences de salaires entre métiers.
Au 1er janvier 2015, 1,7 million de salariés des entreprises du secteur concurrentiel (hors apprentis et intérimaires) ont été concernés par la revalorisation du Smic horaire, soit 11,1 % des salariés (après 10,8 % au 1er janvier 2014 et 12,3 % au 1er janvier 2013).
Fin 2014, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et tenus de rechercher un emploi (catégories A, B, C) a atteint 5 216 000, son plus haut niveau depuis janvier 1991.
La stratégie Europe 2020 vise à faire de l’Union européenne une économie intelligente, durable et inclusive avec des niveaux d’emploi, de productivité et de cohésion sociale élevés.
Fin 2012, les personnes qui perçoivent l’allocation aux adultes handicapés (AAH) sont beaucoup moins souvent en emploi que l’ensemble de la population âgée de 20 à 64 ans (20 % contre 70 %).