Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2013
- 10 avril 2014
- Dares Analyses N°029
Au 4e trimestre 2013, l’activité économique a progressé de 0,3 % après avoir stagné au trimestre précédent.
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Au 4e trimestre 2013, l’activité économique a progressé de 0,3 % après avoir stagné au trimestre précédent.
En 2011, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 829 euros (+2,4 % par rapport à 2010) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 128 euros (+2,3 %).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 83,8 % des salariés travaillent à temps complet à la fin de l’année
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent près de 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 4e trimestre 2013 et de 1,5 % sur un an.
Au 3e trimestre 2013, l’activité économique a diminué de 0,1 % après un rebond de 0,6 % au trimestre précédent.
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit, en moyenne, à 38,99 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,12 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail reste à peu près stable par rapport au trimestre précédent Elle s'établit à 38,98 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et 39,12 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail subit une légère hausse saisonnière par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit, en moyenne, à 38,99 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 39,13 heures pour les ouvriers.
La dégradation de la situation économique s'est accompagnée d'un ralentissement de la hausse des salaires au premier semestre 1991 par rapport au premier semestre 1990, malgré de fortes hausses dans le bâtiment.