Évaluation et analyse coût-bénéfice du programme EMILE
- Le 20 décembre 2019
12 résultats
En 2017, 1,9 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit une proportion comparable à 2016.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Avec près de six millions de jours de grève, quatre dans la Fonction publique et deux dans le secteur privé et semi-public, l'année 1995 contraste avec les années précédentes.
Plus de 88 000 chômeurs ont bénéficié en 1995 du programme public d'aide à la création ou la reprise d'entreprise. Les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont aussi plus nombreux qu'en 1994.
En 1987, les conflits collectifs du travail ont été la cause d'à peine un million de journées non travaillées. Ce chiffre est inférieur à celui de 1986 et dépasse tout juste celui de 1985 pourtant l'un des plus bas depuis quarante ans.
43 000 personnes ont été admises en 1987 à un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée - soit inscrits à l'ANPE depuis au moins un an, soit en situation de chômage répétitif.