Les élections aux comités d'entreprise en 2001
- 2 octobre 2003
- Dares Résultats N°43.2
Après une légère reprise entre 1991 et 1995, la participation aux élections professionnelles poursuit, entre 1999 et 2001, le nouveau repli amorcé en 1997.
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Après une légère reprise entre 1991 et 1995, la participation aux élections professionnelles poursuit, entre 1999 et 2001, le nouveau repli amorcé en 1997.
Au sein des 15-64 ans, une personne sur huit déclare être limitée dans sa capacité de travail du fait d'un problème de santé, soit 5 millions d'individus. 44 % d'entre eux accèdent à un emploi.
L'emploi a fortement augmenté en 2000. Ainsi, parmi les établissements de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, un sur deux a généré des emplois nouveaux contre moins de deux sur cinq en 1996.
En 2001, les chefs d'entreprise considèrent qu'une augmentation de la part des salariés de plus de 50 ans aura des effets positifs sur le plan collectif.
En 2001, les entrées dans les principales mesures de politiques de l'emploi se sont repliées dans un contexte de retournement du marché de l'emploi et de réforme de plusieurs dispositifs.
Le début de l'année 1990 prolonge et amplifie l'accélération des salaires observée depuis 1989. Les salaires de base des ouvriers progressent sur le premier trimestre 1990 à 1,6 % contre 1,3 % l'an passé, soit l'évolution la plus forte depuis 1985.
1,7 million de salariés environ se sont rendus aux urnes en 1989, soit 65,4 % des électeurs inscrits. La participation diminue de 1,3 point alors qu'elle n'avait perdu que 0,6 point entre 1985 et 1987.
Entre 1987 et 1989, le nombre d'établissements de 50 salariés et plus ayant au moins un délégué syndical est passé de 18 600 à 17 600, soit un recul de 5,9 %. Les salariés appartenant à ces établissements sont passés de 4 597 000 à 4 347 000, soit une baisse de 5,4 %.
En 1989, quatre entreprises aidées sur cinq correspondent à des créations nouvelles. Les autres, 17 %, sont des reprises d'entreprises existantes. Cette répartition est quasi-inchangée depuis 1986. 49 % des créateurs s'inscrivent au Registre du commerce et 42 % au Registre des métiers.
Plus de quatre embauches aidées sur dix ont été directement induites par les aides. L'exonération pour la première embauche favorise le développement de l'entreprise.