Le chômage partiel en 2011
- 20 décembre 2012
- Dares Analyses N°097
En 2011, un peu plus de 12 millions d’heures de chômage partiel ont été consommées en France métropolitaine.
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En 2011, un peu plus de 12 millions d’heures de chômage partiel ont été consommées en France métropolitaine.
En 2010, dans un contexte où l’économie française a connu une croissance fragile, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,5 milliards d’euros. Rapporté au PIB, l’effort de formation recule de 0,1 point (1,6 %, après 1,7 % en 2009).
En 2010, 57,3 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
La récession de 2008-2009 s’est accompagnée d’une forte baisse de l’emploi entre la fin du 1er trimestre 2008 et la fin du 3e trimestre 2009 (460 000 emplois détruits), que n’a que partiellement compensée l’amélioration de la situation sur le marché du travail entre la fin du 3e trimestre 2009 et la fin du 4e trimestre 2010 (+ 180 000).
En 2008, 136 000 personnes exercent un métier dit « vert » et plus de 3,5 millions un métier potentiellement « verdissant ».
Depuis 1987, la Dares établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires.
Entre 2007 et 2010, 130 millions d’heures de chômage partiel ont été consommées en France métropolitaine.
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
Plus de 15 milliards d’euros ont été distribués par les entreprises pour l’exercice 2006 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement de l’employeur aux versements volontaires des salariés.
Le chômage partiel permet à un établissement qui fait face à un choc conjoncturel de réduire temporairement son activité au-dessous de la durée légale ou d’arrêter momentanément toute ou partie de son activité.