Les tensions sur le marché du travail au 3e trimestre 2010
- 15 décembre 2010
- Dares Indicateurs N°086
Contrairement aux cinq trimestres précédents, les flux d’offres d’emploi collectées par Pôle emploi sont en légère baisse ce trimestre (-0,9 %).
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Contrairement aux cinq trimestres précédents, les flux d’offres d’emploi collectées par Pôle emploi sont en légère baisse ce trimestre (-0,9 %).
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.
D’un montant de 29,8 milliards d’euros en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3 % par rapport à 2007.
En 2008, 58 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,3 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
L’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux demandes d’emploi enregistrées par Pôle emploi, se stabilise (+0,3 % sur le trimestre), au deuxième trimestre 2010.
Au 1er trimestre 2010, les nouvelles demandes d’emploi sont moins nombreuses que le trimestre précédent (- 4,0 %).
La part des offres durables (sur contrat de plus de 6 mois) progresse très légèrement et le taux d’écoulement des demandes d’emploi se réoriente à la hausse après six trimestres de baisse.
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.
En 1993, les Plans d'épargne d'entreprise (PEE) se diffusent dans les entreprises. Parmi celles qui avaient un accord d'intéressement ou de participation en vigueur en 1993, près de 3 sur 10, représentant près d'un salarié sur deux, disposent d'un PEE.
En 1994, l'intéressement versé au titre de l'exercice 1993 représente près de 8 milliards de francs pour un effectif salarié couvert par un accord d'intéressement de 2,5 millions, baisse de 9 % par rapport à celui de l'exercice 1992.