Évaluation du suivi mensuel personnalisé mis en place par l'ANPE en 2006
- 18 décembre 2012
- Document d'études N°175
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
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Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
En 2010, dans un contexte où l’économie française a connu une croissance fragile, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,5 milliards d’euros. Rapporté au PIB, l’effort de formation recule de 0,1 point (1,6 %, après 1,7 % en 2009).
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Au 2e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,3 %, soit 0,1 point de plus qu’au 2e trimestre de l’année précédente.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
88 252 accords et autres textes assimilés ont été établis ou signés dans les entreprises françaises en 2010 soit une baisse de 24,8 % par rapport à 2009.
En 2010, 14,3 % des entreprises de 10 salariés ou plus ont engagé des négociations collectives.
Au 1er trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,5 %, au même niveau que le 1er trimestre de l’année précédente.