Évaluation du suivi mensuel personnalisé mis en place par l'ANPE en 2006
- 18 décembre 2012
- Document d'études N°175
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
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Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet au troisième trimestre 2012.
En 2009, les salaires effectifs étaient en moyenne supérieurs de 47 % aux salaires conventionnels, les écarts étant plus marqués pour les cadres et les salariés des grandes entreprises.
En 2011, en France métropolitaine, 52 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) ont été embauchés en contrat unique d’insertion (CUI), représentant 12,7 % du total des entrants en CUI (+2 points par rapport à 2010).
En 2011, 444 000 contrats uniques d’insertion ont été signés, dont 391 000 dans le secteur non marchand et 53 000 dans le secteur marchand. 285 000 sont des nouvelles embauches et 159 000 sont des reconductions de contrats précédemment conclus.
Six demandeurs d’emploi sur dix déclarent être entrés en contrat aidé principalement parce qu’ils ne voulaient pas « rester sans rien faire », voulaient « améliorer leur situation financière » ou n’avaient pas d’autres propositions d’embauche.
Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) progresse de 0,4 % au troisième trimestre 2012 et de 2,2 % sur un an.
En 2010, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein était de 2 764 euros (en hausse de +2,1 % après +1,0 % en 2009) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux de 2 082 euros (+2,0 % après +1,3 % en 2009).