Risques du travail : post-enquêtes SUMER 2009
- Le 12 décembre 2012
32 résultats
En 2010, dans un contexte où l’économie française a connu une croissance fragile, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,5 milliards d’euros. Rapporté au PIB, l’effort de formation recule de 0,1 point (1,6 %, après 1,7 % en 2009).
Au 2e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,3 %, soit 0,1 point de plus qu’au 2e trimestre de l’année précédente.
L’enquête « Santé et itinéraire professionnel » (SIP) a pour objet les interactions entre le travail, l’emploi et la construction ou l’altération de la santé, en prenant en compte les décalages temporels.
Avec 891 millions d’heures rémunérées au domicile de particuliers, l’activité du secteur des services à la personne est restée globalement stable en 2010 (+0,3 % par rapport à 2009).
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
En 2010, 57,3 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Au 1er trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,5 %, au même niveau que le 1er trimestre de l’année précédente.