Les bénéficiaires des politiques de l'emploi
- 30 décembre 2002
- Dares Analyses n°52.3
L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
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L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
Au troisième trimestre 2002, la durée hebdomadaire du travail recule légèrement : - 0,1 %.
Interrogés sur leur travail, sur leurs conditions de vie et sur leurs perspectives, les salariés en contrat emploi-solidarité (CES), en contrat emploi consolidé (CEC) ou en contrat emploi-jeune expriment des opinions convergentes sur plusieurs points essentiels.
Parmi les 940 000 jeunes en contact en 2000 avec le réseau des missions locales et permanences d'accueil d'information et d'orientation, 365 000 sont des premiers entrants, accueillis majoritairement lors d'un entretien individuel.
Au cours des années quatre-vingt-dix, les systèmes de négociation collective des salaires de l'Allemagne, de l'Espagne, de la France et de l'Italie ont été fortement sollicités par un environnement en profonde transformation.
Les effectifs salariés augmentent de 0,2 % au cours du troisième trimestre 2002 dans les secteurs concurrentiels. Sur un an, la progression s'élève à 0,6 %.
Près de 360 000 jeunes sont passés par le programme « Nouveaux services-Emplois jeunes » entre octobre 1997 et fin décembre 2001.
Le nombre d'entrées en Contrat Initiative Emploi (CIE) chute fortement en 2001 : 90 000 entrées contre 138 000 l'an dernier.
Au deuxième trimestre 2002, la durée hebdomadaire du travail recule de 0,2 %. Elle s'établit ainsi à 35,7 heures contre 36,2 heures un an auparavant (-1,3 %).
Dans les très petites entreprises (TPE), le gain mensuel moyen brut d'un salarié à temps complet était, en juin 2001, de 1 930 euros, avec des écarts selon la qualification ou le sexe du même ordre qu'en juin 2000.