Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2007, 175 000 jeunes habitant en zone urbaine sensible (ZUS) ont été reçus en entretien individuel par un conseiller du réseau des missions locales, soit 18 % de l’ensemble des jeunes reçus par les missions locales.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
Depuis 1995, la durée des études a cessé de s’allonger et la proportion de jeunes présents sur le marché du travail a peu varié.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Entre juillet 2002 et décembre 2007, 441 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre d’un « Contrat jeunes en entreprises » (ou dispositif de « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprises » ), dont 92 000 pour l’année 2007.
En 2007, 1 130 000 jeunes de 16 à 25 ans ont été en contact avec le réseau des missions locales et permanences d’accueil, d’information et d’orientation (PAIO).
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
Créé en avril 2005 dans le cadre du plan de cohésion sociale, le contrat d’insertion dans la vie sociale (CIVIS) vise à accompagner les jeunes en difficulté d’insertion vers l’emploi durable.
Du début de l’année 2005 à la fin de 2007, l’emploi a fortement progressé.