Les conflits du travail en 2004
- 8 novembre 2005
- Dares Analyses N°45.1
En 2004, le nombre de jours de grève continue de baisser dans le secteur privé. Pourtant, le nombre de grévistes reste proche de celui de l’année précédente.
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En 2004, le nombre de jours de grève continue de baisser dans le secteur privé. Pourtant, le nombre de grévistes reste proche de celui de l’année précédente.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.
Trois quarts des travailleurs de nuit, de minuit à cinq heures du matin, sont des hommes. Pourtant, depuis le début des années quatre-vingt dix, le travail de nuit des femmes a progressé plus rapidement que celui des hommes.
En juillet 2004, au sein des entreprises non agricoles et hors intérim, 15,6 % des salariés ont bénéficié de la hausse du SMIC ou des garanties mensuelles de rémunération.
Depuis le 1er janvier 2000, la durée légale hebdomadaire du travail est passée à 35 heures pour les entreprises de plus de 20 salariés.
Cette recherche a pour objectif l’évaluation des transformations induites par la RTT sur les communautés de travail, sur les systèmes productifs et leur niveau de performance.
Dans le secteur privé, les conflits localisés du travail ont fortement diminué en 2002 et 2003.
En 2003, près de 8 400 salariés ont été recrutés par des établissements implantés en Zone franche urbaine (ZFU), ce qui représente une progression de 6 % par rapport à 2002.
Le présent rapport est issu de l’exploitation des données fournies par l’ensemble du réseau des missions locales et des permanences d’accueil d’information et d’orientation (PAIO).
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.