Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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En moyenne de 2013 à 2015, parmi les 2,4 millions de jeunes âgés de 18 à 29 ans qui suivent des études dans l’enseignement supérieur, près de 23 % sont actifs au sens du Bureau international du travail (BIT).
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
Le nombre de demandes d’autorisation de licenciements et de ruptures conventionnelles des contrats de salariés protégés dans le cadre de leurs fonctions de représentation du personnel s’élève à près de 20 000 en 2014.
En 2013, 11 % des salariés âgés de 18 à 65 ans déclarent adhérer à une organisation syndicale, 30 % d’entre eux participent régulièrement aux activités de leur syndicat, alors qu’un peu plus de 50 % n’y ont jamais pris part ou très rarement.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
Au deuxième trimestre 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente assez sensiblement à 11,2 %, après le léger infléchissement du trimestre précédent.
Fin 2007, les trois quarts des employeurs ayant recruté en contrat d’accompagnement dans l’emploi, contrat d’avenir, contrat initiative emploi ou contrat insertion-revenu minimum d’activité déclaraient que leur salarié avait suivi une formation au cours du contrat.