Conditions de travail et précarité dans l'emploi
- 8 juillet 2009
- Dares Analyses N°28.2
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
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Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
D’un trimestre à l’autre, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet diminue de -11,0 % au 1er trimestre 2009 par rapport au 4ème trimestre 2008.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
Pour les professions du tertiaire, les tensions entre offres et demandes d’emploi ont diminué également au quatrième trimestre 2008 (-8,7 % ce trimestre et -13,9 % sur un an) dans la grande majorité des domaines professionnels.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Pour les professions du tertiaire, les tensions entre offres et demandes d’emploi sont restées stables ce trimestre (-0,1 %) et en baisse limitée sur un an (-1,1% par rapport au troisième trimestre 2007).
Au 2ème trimestre 2006, le ratio des offres d’emploi sur les demandes d’emploi enregistrées à l’ANPE s’accroît à nouveau après s’être replié au trimestre précédent.
Fin juin 2006, 2 186 600 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1.