L'offre de formation continue en 2005
- 23 novembre 2007
- Dares Résultats N°48.1
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
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En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
637 000 chômeurs sont entrés en formation en 2005, soit 10 % de moins qu’en 2003 et en 2004.
La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 2,4 % en 2004, portant sa hausse à 8,1 % depuis 1999.
Pour la première fois depuis 1990, l'année 1996 se caractérise par une baisse des effectifs des titulaires d'un contrat aidé dans le secteur non marchand. En fin d'année, 410 000 person- nes occupent un tel emploi, soit 34 000 de moins que fin 1995.
En 1996, près de 300 000 personnes ont été embauchées dans le cadre de Contrats initiative emploi. Les employeurs dont d'abord des entreprises du secteur tertiaire (68 % des embau- ches), ainsi que de très petits établissements. Ces caractéristiques se sont renforcées en 1996.
2,9 millions de personnes bénéficiaient d'un des dispositifs spécifiques de politique d'emploi à la fin de 1996. A court terme, au sein de ces dispositifs, les retraits d'activité agissent davantage sur, le chômage que les aides à l'emploi marchand.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1995 à 291 milliards de francs, soit une baisse de 2,7 % en francs constants (0,2 % du PIB) qui prolonge celle amorcée l'année précédente.
Les dépenses pour la formation des salariés se maintiennent tant dans le secteur public que dans le secteur privé, ainsi que les dépenses pour les jeunes en première insertion sur le marché du travail. Celles en faveur des demandeurs d'emploi reculent.