Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
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Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Au 4e trimestre 2015, l’activité économique en France croît de 0,3 %.
Les entreprises utilisatrices d’activité partielle connaissent davantage une baisse de leurs effectifs et, ce, en dépit de l’utilisation de la mesure.
En 2014, près de 26 millions d’heures ont été chômées au titre de l’activité partielle, soit 5 % de moins qu’en 2013.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
En 2005, 1,86 million de journées de chômage partiel ont été autorisées en France métropolitaine. Elles ont touché 170 000 salariés. Les autorisations de chômage partiel diminuent de 2,5 % en 2005, après une baisse de 25,7 % en 2004.
Pour la première fois depuis 1990, l'année 1996 se caractérise par une baisse des effectifs des titulaires d'un contrat aidé dans le secteur non marchand. En fin d'année, 410 000 person- nes occupent un tel emploi, soit 34 000 de moins que fin 1995.
En 1996, près de 300 000 personnes ont été embauchées dans le cadre de Contrats initiative emploi. Les employeurs dont d'abord des entreprises du secteur tertiaire (68 % des embau- ches), ainsi que de très petits établissements. Ces caractéristiques se sont renforcées en 1996.
2,9 millions de personnes bénéficiaient d'un des dispositifs spécifiques de politique d'emploi à la fin de 1996. A court terme, au sein de ces dispositifs, les retraits d'activité agissent davantage sur, le chômage que les aides à l'emploi marchand.
Après une période d'amélioration de la conjoncture en 1994-1995, au cours de laquelle le recours au chômage partiel avait diminué de 15,5 millions de journées indemnisables en 1994 à 9,7 millions en 1995, l'année 1996 a été moins favorables.