Forte baisse du recours au chômage partiel en 2004
- 15 décembre 2005
- Dares Indicateurs N°50.2
En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
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En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
La dépense totale consacrée par la Nation (Etat, collectivités territoriales, entreprises et ménages) à la formation professionnelle est passée de 71 à 111 milliards de Francs entre 1987 et 1991, atteignant 1,7 % du PIB.
Environ 168 000 personnes sont entrées en 1992 dans un des dispositifs d'accompagnement des restructurations, conventions de conversion ou conventions du FNE y compris les préretraites, soit une augmentation de 30 % sur un an.
En 1992, le chômage partiel a continué à augmenter. Il est passé de 7,6 millions de journées indemnisable en 1991 à 10,7 millions en 1992, soit une augmentation de 41 %.
Après une baisse sensible entre 1987 et 1990, les licenciements économiques ont progressé fortement en 1991 dans l'ensemble des secteurs, notamment les services marchands aux entreprises.