Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
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Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
En 2013, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,2 milliards d’euros.
Plus de 80 % des structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) appartiennent à un réseau de l’IAE.
Fin 2014, près de 130 000 salariés en insertion travaillent dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), correspondant à 64 600 équivalents-temps plein.
Le taux d’encadrement des salariés en insertion dans le secteur de l’insertion par l’activité économique est très variable selon les structures.
En 2014, l’activité dans le secteur des services à la personne recule de 0,9 %.
L’évolution des contrats emploi-solidarité et des contrats emploi consolidé en 2004 s’inscrit dans la continuité des années précédentes avec la baisse du nombre d’entrées.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.
En 2004, 93 000 salariés ont été embauchés en Contrats Initiative Emploi (CIE), soit une hausse de près de 50 % par rapport à 2003.
Les missions locales et les Permanences d’Accueil, d’information et d’orientation (PAIO) ont été créées dans les années quatre-vingt pour lutter contre le chômage des jeunes et faciliter leur insertion sociale et professionnelle.