Formation professionnelle des demandeurs d'emploi en 2005 : la Région, principal financeur
- 21 juin 2007
- Dares Résultats N°26.3
637 000 chômeurs sont entrés en formation en 2005, soit 10 % de moins qu’en 2003 et en 2004.
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637 000 chômeurs sont entrés en formation en 2005, soit 10 % de moins qu’en 2003 et en 2004.
Dans le secteur des services à la personne, les salariés ont travaillé en 2005 680 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % en un an.
En 2005, 1,86 million de journées de chômage partiel ont été autorisées en France métropolitaine. Elles ont touché 170 000 salariés. Les autorisations de chômage partiel diminuent de 2,5 % en 2005, après une baisse de 25,7 % en 2004.
En 1995, la conjoncture s'est améliorée par rapport à 1993 et le recours au chômage partiel comme alternative au licenciement a beaucoup diminué.
Plus de 88 000 chômeurs ont bénéficié en 1995 du programme public d'aide à la création ou la reprise d'entreprise. Les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont aussi plus nombreux qu'en 1994.
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.
En France comme en Allemagne, le chômage partiel, outil de gestion du temps de travail parmi d'autres, est employé par les entreprises comme un instrument destiné à parer aux incertitudes. Les conditions de sa négociation et de sa mise en œuvre sont par contre variées.
Institué en février 1985, le fonds départemental pour l'initiative des jeunes a pour objectif d'aider à la mise en oeuvre de projets de création ou de reprise d'activité économique.
Au cours de l'année 1990, 1,45 million de personnes ont été embauchées ou sont entrées en stage grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi.