L'accompagnement des demandeurs d'emploi : enseignements des évaluations
- 12 décembre 2013
- Document d'études N°178
L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
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L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
À la demande du comité d’évaluation de Pôle emploi, une évaluation de ces prestations d’accompagnement a été conduite, en comparaison des prestations équivalentes délivrées directement par les équipes de Pôle emploi.
En 2002, les entrées en Contrat Initiative Emploi (CIE) chutent de 40 %, amplifiant ainsi la baisse déjà forte de 2001 (- 35 %). Ainsi, 52 000 nouveaux contrats ont été signés, après 89 000 en 2001 et 138 000 en 2000.
329 977 conventions CES ont été signées en 2002.
Le contrat initiative emploi constitue un tremplin rapide vers un emploi classique et stable.
Les trajectoires professionnelles des jeunes bénéficiaires du programme TRACE sont semblables à celles de l'ensemble des jeunes en début de vie active.
Après leur passage en contrat emploi-solidarité, les anciens bénéficiaires restent marqués par les difficultés qu'ils connaissaient à l'entrée dans la mesure : les allocataires des minima sociaux, les plus âgés ou les moins formés retrouvent moins souvent « un emploi classique ».